Idéalement, l’axe implantaire doit être matérialisé par la droite passant par la cuspide d’appui antagoniste, afin que la distribution des forces se répartisse le long de la liaison os/implant. Pourtant, à la lecture de la littérature scientifique, ce critère ne semble pas primordial, puisque de nombreuses publications ont montré des taux de succès similaires avec des implants inclinés [1]. Alors pourquoi prendre des précautions avec l’axe ? A priori, il suffit que l’implant soit ostéointégré au sein d’une quantité d’os suffisante avec une émergence approximative, pour reconstruire une dent. Par ailleurs, les artifices prothétiques développés par les fabricants d’implants permettent de pallier les déficiences de positionnement…
Conséquence esthétique d’axes implantaires mal orientés. Réhabilitation d’un cas clinique
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 16-21)
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