Les molécules antalgiques occupent une place de choix au sein de l’ensemble des moyens thérapeutiques à la disposition de l’odontologiste pour combattre la douleur. Leur prescription doit obéir à un certain nombre de critères individuels reposant
 (1) sur les données issues de l’analyse clinique de cette douleur, (2) sur l’évaluation de la sensation douloureuse, (3) sur l’appréciation du terrain et des antécédents médicaux, (4) sur la détermination des médications en cours ainsi que (5) sur les propriétés pharmacologiques de la molécule en question. Néanmoins, il n’existe pas d’antalgique idéal ; le praticien devra constamment adapter sa prescription à la situation clinique et à chaque patient.
Evaluer et prendre en charge la douleur : Place de la prescription antalgique
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 - Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°1 - 15 mars 2006 (page 17)
 
							
							
							
						
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