Selon Malamed, «il suffit d’atteindre le nerf avec
le produit anesthésique et la suppression de la
douleur est assurée ». Ce même auteur indique
que «l’anesthésie du nerf mandibulaire apparaît
comme la plus frustrante, avec le plus fort taux
d’échecs cliniques (environ 15 à 20 %) même
lorsqu’elle est convenablement réalisée ».
L’anesthésie transcorticale : technique de première intention
- Par
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 125)
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