Au début de l’utilisation des implants en tant que compléments de rétention prothétique, les praticiens les ont disposés dans des zones anatomiques sans trop se soucier de la zone d’émergence prothétique. De nos jours, en adéquation avec des impératifs prothétiques biomécaniques et esthétiques, il est primordial de considérer l’implant comme une racine prothétique artificielle dont la finalité est de supporter une structure prothétique. Son intégration dans la décision thérapeutique dépend du type d’édentement, de son étendue, des distances de sécurité avec les dents adjacentes et les obstacles anatomiques voisins et, enfin, des rapports intermaxillaires.
la programmation informatique et le projet prothétique
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 119-126)
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