Ce sont les lésions parodontales les plus difficiles à traiter en raison de l’anatomie particulière des molaires, de leur position sur l’arcade, des différents choix thérapeutiques qui peuvent être faits et de leur incidence prothétique.
Nous envisagerons successivement la prévalence, les facteurs anatomiques, le diagnostic, la classification, la thérapeutique et le pronostic.
Les lésions interradiculaires
- Par
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 831)
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour lire la suite :
Vous êtes abonné.e ?
Connectez-vous
Pas encore abonné.e ?
Abonnez-vous
Abonnez-vous pour recevoir la revue et bénéficier des services en ligne et des avantages abonnés.
Vous pouvez également :
Acheter l'article
En version numérique