Aujourd’hui, l’ancrage reste la problématique de nos traitements en orthodontie. Même si les moyens d’ancrage traditionnels passifs (système neuromusculaire et corticales osseuses) et actifs (renforts d’ancrage tels que les forces extra orales, les arcs de Nance, arcs transpalatins…) permettent de répondre aux principes biomécaniques de la quasi-totalité de nos traitements, un réel besoin d’innover s’est fait sentir dans certaines situations cliniques (redressement molaire, impression) notamment chez les adultes (1). Les minivis sont des dispositifs qui procurent un point d’ancrage squelettique temporaire (de 4 à 12 mois) au maxillaire et à la mandibule. Elles permettent les mouvements orthodontiques d’ingression, égression, mésialisation, distalisation, inclinaison (S.F.O.D.F 2010) et nous aident aujourd’hui à répondre à ces situations cliniques.
Les minivis : bien les choisir, bien les utiliser
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- Publié le . Paru dans L'Orthodontiste n°1 - 15 mars 2012 (page p 28-32)
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