Paresthésies et anesthésie locorégionale

  • Par
  • Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 2731)
Information dentaire

En 1904, la Procaïne prenait son essor jusqu’à la découverte de la Lidocaïne en 1943 (commercialisée en 1948). Depuis, d’autres anesthésiques locaux de
type amino-amide virent le jour (Mépivacaïne en 1957, Prilocaïne en 1960, Bupivacaïne en 1963 et Etidocaïne en 1972) puis l’Articaïne fut synthétisée
(5, 14, 15). L’Articaïne présente une bonne diffusion et une durée d’anesthésie compatible avec la majorité des actes de notre spécialité ainsi qu’une efficacité remarquable (9, 10, 21). Aujourd’hui, la responsabilité de certaines substances utilisées en anesthésie locale est mise en cause dans certaines paresthésies post injectionelles ; il s’agit essentiellement de l’Articaïne, de la Prilocaïne et de la Lidocaïne. La littérature pose la problématique mais sans donner de réponse claire sur la responsabilité de l’agent anesthésiant ou de la technique anesthésique elle-même.

Cet article est réservé aux abonnés.
Pour lire la suite :

Vous êtes abonné.e ? Connectez-vous
Mot de passe
oublié ?

Vous pouvez également :

Acheter l'article En version numérique

Thèmes abordés

Sur le même sujet

Anesthésie

Article réservé à nos abonnés L’anesthésie en questions

Une anesthésie de qualité constitue une obligation tant légale que morale, déontologique et éthique si l’on se réfère à la...