À l’heure où l’on ne parlait pas encore de dopage mais de « doping », ce dernier était défini comme « l’utilisation de substances et de tous moyens destinés à augmenter artificiellement le rendement, en vue ou à l’occasion de la compétition, et qui peut porter préjudice à l’éthique sportive et à l’intégrité physique et psychique de l’athlète » (définition adoptée lors du colloque européen sur le dopage, tenu en janvier 1963 à Uriage-les-Bains).
Performances et dopage
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 111-114)