Même si l’usage de l’amalgame décroît, les dentistes et leurs personnels continuent d’être exposés au mercure,
essentiellement sous sa forme vapeur, par exemple lorsqu’ils déposent d’anciennes restaurations. Le taux de mercure urinaire est un bon indicateur de l’exposition chronique au mercure. Plus élevé chez les professionnels de l’odontologie, par rapport aux populations non exposées, il décroît depuis trente ans avec l’amélioration des pratiques. Une revue des études récentes est réalisée. Après avoir identifié les risques toxiques elle permet d’aboutir à des mesures de prévention simples. Sous la responsabilité du praticien, ces dernières permettent de maintenir les risques au plus bas, en dessous des limites toxiques acceptables.
Risques professionnels liés au mercure des amalgames
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- Publié le . Paru dans Réalités Cliniques n°1 - 15 mars 2007 (page 41)
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