Sommaire
Olivier Etienne, dans le premier article, aborde à l’aide de trois cas cliniques de prothèse fixée l’ensemble des étapes de la phase de diagnostic à la mise en situation clinique.
Ces traitements concernent des restaurations prothétiques de type inlay onlay et un bridge antérieur. Il est très intéressant, dans ce travail, de noter les possibilités de cette technologie pour faciliter les différentes phases d’enregistrement de pièce unitaire et d’un bridge antérieur. (p. 18)
Dans les grandes réhabilitations, si la prise d’empreinte reste une étape délicate, la réalisation au laboratoire de prothèse de grandes armatures par méthode traditionnelle de coulée reste un défi technique. Les laboratoires de prothèse ont très vite compris l’intérêt de cette technologie numérique pour limiter
les problèmes d’ajustage des grandes reconstitutions.
Jean Philippe Pia et ses coauteurs abordent ici les différentes phases d’une prothèse fixée de grande étendue dans la configuration d’un cabinet fonctionnant en empreinte conventionnelle et d’un laboratoire utilisant les techniques CFAO. (p. 26)
L’association de la technologie numérique, des matériaux céramiques et des techniques de collage permet aujourd’hui la réalisation de traitements peu invasifs pour les organes dentaires à la morphologie altérée. Ces traitements peu invasifs sont alors souvent indiqués dans les cas de dysmorphose.
Marion Bessadet et l’équipe du CHU de Clermont Ferrand ont pu mettre en place ce type de traitement dans le cas complexe d’une jeune patiente porteuse de trisomie 21.
De plus, ici, la restauration des morphologies dentaires permet aussi une réhabilitation de la dimension verticale. (p. 32)
La précision de ces techniques CFAO, mise en œuvre dans le cas de la prothèse fixée, est aussi utilisée dans le cas de prothèse amovible partielle à infrastructure métallique.
Si l’enregistrement direct des surfaces dentaires et muqueuses ne…