Les deux épisodes de canicule, du 24 juin au 7 juillet puis du 21 au 27 juillet, ont provoqué 1 435 décès selon les premiers chiffres publiés par Santé publique France le 9 septembre.
L’Agence dénombre 567 morts lors de la première vague de chaleur et 868 lors de la deuxième, soit une surmortalité relative de 9,1 % par rapport aux décès normalement attendus au cours de ces périodes.
C’est mieux que lors des épisodes caniculaires de 2015 et 2018 où ce taux était respectivement de 10,1 % et 15 %. « Cette comparaison est à interpréter avec précaution en raison des caractéristiques différentes de ces épisodes, en termes d’intensité, de durée et de date de survenue », prévient le ministère de la Santé.
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