Chimiothérapie et jeûne thérapeutique : non !

  • Par
  • Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
Information dentaire

Certains travaux – expérimentaux – suggèrent un possible effet synergique du jeûne thérapeutique sur la chimiothérapie anticancéreuse. Mais il est important de souligner que cet effet n’est pas retrouvé dans toutes les études et pour tous les types de cancer. En outre, les animaux de laboratoire ont une capacité à reprendre du poids que ne possèdent pas les malades atteints d’un cancer. Dans l’état actuel des connaissances (en l’absence de données scientifiques solides), le jeûne thérapeutique pendant les chimiothérapies n’est donc pas recommandé.

Thèmes abordés

Commentaires

Laisser un commentaire

Sur le même sujet

Revue de presse

Boissons pour sportifs et érosion dentaire

Comme chaque année, les vacances d’été qui se profilent seront pour certains l’occasion pratiquer des sports en plein air et...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Édentement complet et implant unitaire

Dans une logique d’économie tissulaire des organes dentaires, la pose d’un implant est souvent le traitement le mieux approprié pour...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Les vrais critères de choix de la DVO

Cet article vise à clarifier une notion capitale, tant diagnostique que thérapeutique : la Dimension Verticale d’Occlusion (DVO). Enseignée dès...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Pulpotomie permanente et dents permanentes

La pulpotomie est le moyen le plus efficace pour soulager rapidement les symptômes douloureux d’une pulpite irréversible, classiquement dans l’attente...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Caractéristiques du sourire et préférences des patients

Un beau visage est un avantage préférable à toutes les lettres de recommandation. » C’est ainsi qu’Aristote expliquait l’importance de l’esthétique...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Chirurgie des canines maxillaires incluses : operculisation ou pas ?

L’inclusion de la canine maxillaire est observée dans 1 à 3 % de la population, pouvant aller jusqu’à 24 % en population...