L’usure dentaire est de plus en plus fréquente au sein de nos cabinets. Nos patients y sont sujets de par leur alimentation parfois plus acide, leur mode de vie souvent plus stressant, et également une hygiène qui s’améliore et des dents qui vieillissent davantage.
L’étiologie de cette usure est multifactorielle, revêtant une composante de type attrition (usure par contact dento-
dentaire), une composante abrasive avec un brossage traumatique et, en dernier lieu, une légère composante tribo-érosive de par une pratique importante de sport avec gel et boisson acide (fig. 1-4) [1].
1. Photographie initiale de l’arcade dentaire maxillaire : usure occlusale généralisée, dent 11 qui correspond à une couronne céramo-métallique ancienne, restaurations amalgame inadaptées sur prémolaires et molaires.
2. Photographie initiale de l’arcade dentaire mandibulaire : usure occlusale généralisée absence de 36, restaurations amalgame inadaptées sur molaires.
3. Photographie initiale à l’échelle dento-gingivale : sévère usure occlusale du bloc antérieur maxillaire, lésion type attrition en occlusal (contact dento-dentaire), lésion type abrasion au niveau des collets (contact des dents avec corps étranger type brosse à dents). Notons en dernier lieu une usure plus prononcée en antérieur secteur 2/3 que secteur 1/4 (très certainement due au verrou occlusal joué par 14 et 44).
4. Photographie initiale à l’échelle du sourire.
1. Photographie initiale de l’arcade dentaire maxillaire : usure occlusale généralisée, dent 11 qui correspond à une couronne céramo-métallique ancienne, restaurations amalgame inadaptées sur prémolaires et molaires.
2. Photographie initiale de l’arcade dentaire mandibulaire : usure occlusale généralisée absence de 36, restaurations amalgame inadaptées sur molaires.
3. Photographie initiale à l’échelle dento-gingivale : sévère usure occlusale du bloc antérieur maxillaire, lésion type attrition en occlusal (contact dento-dentaire), lésion type abrasion au niveau des collets (contact des dents avec corps étranger type brosse à dents). Notons en dernier lieu une usure plus prononcée en antérieur secteur 2/3 que secteur 1/4 (très certainement due au verrou occlusal joué par 14 et 44).
4. Photographie initiale à l’échelle du sourire.
1. Photographie initiale de l’arcade dentaire maxillaire : usure occlusale généralisée, dent 11 qui correspond à une couronne céramo-métallique ancienne, restaurations amalgame inadaptées sur prémolaires et molaires.
2. Photographie initiale de l’arcade dentaire mandibulaire : usure occlusale généralisée absence de 36, restaurations amalgame inadaptées sur molaires.
3. Photographie initiale à l’échelle dento-gingivale : sévère usure occlusale du bloc antérieur maxillaire, lésion type attrition en occlusal (contact dento-dentaire), lésion type abrasion au niveau des collets (contact des dents avec corps étranger type brosse à dents). Notons en dernier lieu une usure plus prononcée en antérieur secteur 2/3 que secteur 1/4 (très certainement due au verrou occlusal joué par 14 et 44).
4. Photographie initiale à l’échelle du sourire.
1. Photographie initiale de l’arcade dentaire maxillaire : usure occlusale généralisée, dent 11 qui correspond à une couronne céramo-métallique ancienne, restaurations amalgame inadaptées sur prémolaires et molaires.
2. Photographie initiale de l’arcade dentaire mandibulaire : usure occlusale généralisée absence de 36, restaurations amalgame inadaptées sur molaires.
3. Photographie initiale à l’échelle dento-gingivale : sévère usure occlusale du bloc antérieur maxillaire, lésion type attrition en occlusal (contact dento-dentaire), lésion type abrasion au niveau des collets (contact des dents avec corps étranger type brosse à dents). Notons en dernier lieu une usure plus prononcée en antérieur secteur 2/3 que secteur 1/4 (très certainement due au verrou occlusal joué par 14 et 44).
4. Photographie initiale à l’échelle du sourire.
Du projet virtuel au mock-up (fig. 5-9)
Les empreintes sont effectuées, l’arc facial enregistré, l’ensemble monté sur articulateur. Un protocole photographique complet est réalisé afin d’établir un projet virtuel et de communiquer le plus d’éléments possible au prothésiste.
Le projet virtuel du sourire est un protocole conceptuel, fondé sur une analyse des patients dans leurs dimensions faciale et dentaire. Des objets de calibration permettent une collaboration étroite entre praticien et prothésiste. Le but, dans ce cas, est de guider la réhabilitation à partir du projet esthétique antérieur [2,3].
Le projet global est préparé…
