sollicitée par trois patientes fictives : une patiente de référence, une patiente révélant par son
patronyme une origine africaine, une patiente indiquant bénéficier, une fois sur deux, de la CMU-C ou de l’ACS. Ce testing a été réalisé entre février et mai 2019. « Il est représentatif au niveau
national avec plus de 1 500 cabinets couverts, 4 500 demandes de rendez-vous et 3 000 tests de
discriminations effectifs. La répartition spatiale des cabinets testés et le conventionnement des
professionnels de santé sont très proches de ceux de la France entière », précisent les auteurs.
n’acceptons pas les bénéficiaires de la CMU-C ou de l’ACS » (33 %), « nous ne prenons pas de nouveaux patients » (20 %), « nous ne pouvons pas prendre en charge votre cas » (12 %) et « nous n’avons plus de place » (9 %).
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