Jeux vidéos : dangereux ou pas ?

  • Par
  • Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
Information dentaire

Tous les auteurs s’accordent aujourd’hui à reconnaître que – pour la majorité des individus – les jeux vidéo ne posent pas de souci, certains étant même bénéfiques car susceptibles d’améliorer les fonctions cognitives, sensorielles, perceptuelles et spatiales. Et pour une minorité d’individus ? L’usage excessif des jeux vidéos peut, il est vrai, avoir parfois des effets délétères sur la santé, en induisant notamment des troubles du sommeil, une irritabilité, un isolement, de l’anxiété… Reste à définir précisément un seuil clair entre usage normal et excessif (pathologique) des jeux vidéo !

Thèmes abordés

Commentaires

Laisser un commentaire

Sur le même sujet

Revue de presse

Boissons pour sportifs et érosion dentaire

Comme chaque année, les vacances d’été qui se profilent seront pour certains l’occasion pratiquer des sports en plein air et...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Édentement complet et implant unitaire

Dans une logique d’économie tissulaire des organes dentaires, la pose d’un implant est souvent le traitement le mieux approprié pour...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Les vrais critères de choix de la DVO

Cet article vise à clarifier une notion capitale, tant diagnostique que thérapeutique : la Dimension Verticale d’Occlusion (DVO). Enseignée dès...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Pulpotomie permanente et dents permanentes

La pulpotomie est le moyen le plus efficace pour soulager rapidement les symptômes douloureux d’une pulpite irréversible, classiquement dans l’attente...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Caractéristiques du sourire et préférences des patients

Un beau visage est un avantage préférable à toutes les lettres de recommandation. » C’est ainsi qu’Aristote expliquait l’importance de l’esthétique...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Chirurgie des canines maxillaires incluses : operculisation ou pas ?

L’inclusion de la canine maxillaire est observée dans 1 à 3 % de la population, pouvant aller jusqu’à 24 % en population...