Chez les femmes, l’activité physique réduit de l’ordre de 25 % le risque de développer la maladie de Parkinson, selon des chercheurs de l’Inserm.
Ils ont étudié l’impact de l’activité physique sur le développement de la maladie chez près de 100 000 femmes au cours de 29 ans de suivi. Résultat : « plus les participantes étaient actives au cours de leur vie, moins elles avaient de risque de développer la maladie, avec un bénéfice de l’activité physique déjà présent plus de vingt ans avant le diagnostic », explique l’Institut le 17 mai. Les femmes ayant développé la maladie présentaient, dans les dix années précédant le diagnostic, une baisse significative de leur activité physique probablement causée par des symptômes précurseurs gênants.
Commentaires