Les évaluations cliniques des traitements conservateurs – amalgame, céramique et composite – présentent aujourd’hui des durées de vie sensiblement équivalentes et cliniquement acceptables [5, 10, 2]. Cependant, l’allongement de l’espérance de vie de la population et notre capacité à restaurer les dents de manière plus conservatrice nous placent obligatoirement, un jour ou l’autre, devant la problématique de ré-intervention. Ainsi, plus de la moitié de nos actes en odontologie consistent à remplacer des restaurations défectueuses. Les principaux défauts mis en cause sont les caries secondaires, les fractures de matériaux ou de la dent elle-même, les défauts marginaux et, très souvent, la perte du contact proximal.
Ré-intervention pour un contact proximal défectueux
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire (page 49-52)
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