La cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé, vendredi 20 octobre, la peine infligée à Lionel Guedj en première instance : huit ans de prison pour « escroquerie », « faux » et « violences volontaires » commises entre 2006 et 2012, ayant entraîné une mutilation sur la plupart des quelque 350 patients/plaignants.
Il a dévitalisé près de 4 000 dents saines pour poser des bridges. Il est maintenu en détention. La peine de son père, Jean-Claude Guedj, est également confirmée : cinq ans de prison fermes. Considéré comme coauteur des faits, il comparaissait libre mais est désormais lui aussi emprisonné.
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