1 220 étudiants seront autorisés « à poursuivre leurs études en odontologie à la suite des épreuves terminales de l’année universitaire 2019-2020 » (Journal officiel du 21 avril), soit 17 places de plus que lors de l’année universitaire précédente. Avec 193 places, Paris profite de 13 places supplémentaires (dont 46 pour Paris 5 (+ 3), 46 également pour Paris 7 (+ 4) et 42 pour Paris 6 Sorbonne (+ 6)). Les 4 places restantes vont à Brest (30 : + 3) et la Guyane (2 : + 1). La répartition entre les autres UFR reste équivalente avec, par exemple, 87 places offertes à Lille, 76 à Toulouse, 72 à Aix-Marseille, 58 à Bordeaux, 52 à Montpellier ou 51 à Lyon.
Ce numerus clausus comprend les places attribuées aux universités Paris-Descartes (Paris 5), Sorbonne (Paris 6), Paris-Diderot (Paris 7) et Brest dans le cadre de l’expérimentation dite de « PACES adaptée ». Dans ces universités, la moitié des places est réservée aux redoublants du concours de PACES « traditionnel » (uniquement par écrit). L’autre moitié est promise aux entrants qui passeront un concours « PACES adaptée » (écrit et oral de rattrapage). Ce concours interdit aux étudiants de redoubler mais permet à ceux qui ont la moyenne de passer en 2e année d’un autre cursus universitaire puis éventuellement de revenir en médecine (en 2e ou 3e année) après une licence ou un doctorat. Il s’agit du dernier numerus clausus puisqu’il sera supprimé, en principe, à la rentrée 2020.
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