L’emploi de l’aspirine en prévention cardiovasculaire secondaire est aujourd’hui largement admis. On peut en attendre une réduction de plus de 20 % des événements athérothrombotiques. Son utilisation en prévention cardiovasculaire primaire demeure en revanche controversée : le rapport bénéfice (réduction des infarctus du myocarde) / risque (augmentation des hémorragies digestives) ne serait favorable que chez les malades à haut risque coronarien… et à faible risque de saignement gastro-intestinal !
Aspirine : en prévention cardiovasculaire secondaire… et primaire ?
- Par
- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
Auteur(s)
Thèmes abordés
Sur le même sujet
Revue de presse
En 2018, un consensus international est parvenu à définir le bruxisme de sommeil (i.e. BS ou SB pour sleeping bruxism)...
Revue de presse
Contexte La fréquence des maladies inflammatoires chroniques ou auto-immunes (MICA) varie considérablement d’une population à l’autre, avec une prévalence dans...
Revue de presse
Châssis de prothèse amovible : cobalt-chrome ou alliages de titane ?
En prothèse amovible à infrastructure métallique, les alliages Co-Cr constituent le matériau de choix par ses propriétés de résistance et...
Revue de presse
Sécuriser ses décisions thérapeutiques
L’exercice quotidien d’omnipratique nous conduit fréquemment à nous poser la question de la réalisation d’une intervention en accord avec les...
Revue de presse
Leucoplasie orale et imiquimod
Limiquimod (analogue nucléosidique de la famille des imidazoquinolines) est un immunomodulateur dont l’activité repose essentiellement sur son rôle de ligand...
Revue de presse
Crête osseuse atrophiée et reconstruction pré-implantaire : greffe autogène ou xénogène
Depuis son avènement au début des années 80, l’implantologie moderne connaît un développement continu et exponentiel grâce à une meilleure...
Commentaires