L’ostéopénie n’est pas une maladie

  • Par
  • Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
Information dentaire

Le mot « ostéopénie » devrait disparaître des comptes rendus de densitométrie osseuse, dans la mesure où il engendre fréquemment chez les malades une anxiété injustifiée.

L’ostéopénie, à savoir le fait d’avoir un T-score compris entre – 1 et – 2,5 (ce qui est le cas de plus de la moitié des sujets âgés de plus de 50 ans), n’est pas une maladie ! C’estun terme technique employé pour clarifier les études cliniques et les essais thérapeutiques.


Thèmes abordés

Commentaires

Laisser un commentaire

Sur le même sujet

Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Les bisphosphonates dans le traitement des ostéomyélites chroniques secondaires

Les ostéomyélites chroniques secondaires (SCO) sont des pathologies à la prise en charge complexe. L’étiologie de ces SCO est inconnue,...
Revue de presse

Décision thérapeutique et dents à forte perte d’attache

Conserver ou extraire une dent au parodonte fortement réduit : cette décision, comme tous les choix thérapeutiques, ne s’impose pas d’évidence....
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Macrolides : attention lors du premier trimestre de grossesse

Les macrolides constituent une classe d’antibiotiques fréquemment prescrits pour le traitement des infections bactériennes au cours de la grossesse. En...
Revue de presse

Modélisation des restaurations adhésives en céramique, IA vs expérience professionnelle

Parmi les thèmes qui seront abordés dans les formations du prochain congrès de l’ADF, on trouve les restaurations partielles collées...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Tenons fibrés vs inlay-cores : études cliniques et taux de succès

Notre dernière revue de presse parue dans le numéro du 8 octobre (L’Information Dentaire n° 34) a révélé que l’étude avec...
Revue de presse

Article réservé à nos abonnés Prédictibilité du mouvement de dérotation par aligneurs et facteurs influençant : une étude rétrospective

Contexte et objectifs : Plusieurs études ont évalué l’efficacité globale de la dérotation et proposé une valeur générale de surcorrection (environ...